Viral Millennium. 2 words that intensify the modern day bastardising of Industrial Metal that this duo have become so
popular for.
Capitalising on this monumental industrial mix of metal anthems meets bastard dance beats gone wrong. Heavy enough to head bang to and enough beats to keep your girlfriend happy, their Dynamic Sound captures the perfect measurement of beauty versus brutality....more
Je me souviens encore de ce mois de juin 2011, quand je tombais sur une chronique ne tarissant pas d'éloges sur Antagonist, premier album du one-man band slovène Neurotech.
Je me suis jeté dessus. La magie a opéré tout de suite. Wulf déploie une énergie incroyable : la batterie au rythme mécanique, le piano à la grandeur glaciale et robotique, le cyber metal flirtant avec la techno... tout est bon ! Le seul bémol est le chant de Wulf, manquant de nuances. Mais pour le reste, exceptionnel !! Jordan Vauvert
Pour The Decipher Volumes, Wulf compile les deux premiers opus de Decipher sortis en 2012 et en ajoute un troisième. Vrai pas en avant par rapport à Antagonist, l'objectif de cette compilation n'est pas de déchiffrer une machine ou un ordinateur : Neurotech se déchiffre lui-même, ouvrant progressivement son cyber metal à une sorte d'electronica metal et ça se remarque par les voix — celle de Wulf devenant de plus en plus humaine, chantée, et celle cristalline de Tanja Ravljen.
No Turning Back. Jordan Vauvert
C'est en brisant une règle pour ainsi dire sacro-sainte du cyber metal — apporter de l'humanité au genre — que Neurotech a pu se faire sa renommée.
In Remission pousse le concept encore plus loin. Il n'évoque pas une civilisation future qui chercherait la rédemption : il parle lui-même à cœur ouvert. A l'image de ces flèches reliées mais parallèles, partant dans des directions opposées, Wulf partage une douleur psychologique vive, une déchirure. Le tempo est lent, la joie absente. Poignant. Jordan Vauvert